Andrew Shadid & Dr. Hythem Shadid

O-scan et S-scan chez Genesis Orthopedics & Sports Medicine

Notre objectif est simple : permettre à tous nos patients, pas seulement à quelques privilégiés, d’être plus actifs, plus athlétiques et de bouger librement dans leur corps. Faire en sorte que nos patients, tous milieux confondus, bougent plus librement, se sentent mieux et profitent pleinement de la vie.

Andrew Shadid : Avant d’aborder les raisons pour lesquelles notre cabinet a opté pour l’IRM dédiée, je veux vous raconter une histoire qui a pesé dans notre choix.
Je suis sûr que vous avez lu des articles de presse sur le problème généralisé de la violence des gangs et des fusillades dans la région de Chicago. L’un des facteurs qui contribuent fortement à cette situation est la pauvreté systémique et les problèmes sociaux persistants qui touchent la ville aujourd’hui.
Il y a environ cinq ans, nous avons collaboré avec une école située dans le quartier ouest de Chicago, un quartier fortement touché par la violence et l’instabilité. L’un des étudiants-athlètes de l’école était un formidable quarterback qui s’était fait une déchirure au niveau du ligament croisé antérieur. Avant notre intervention auprès de l’école, le joueur avait consulté plusieurs médecins et essayé de passer une IRM pendant plusieurs mois. On lui a dit que son traitement et les soins pourraient s’élever à plus de 100 000 $. Cette situation nous a fait prendre conscience de l’ampleur de l’inégalité en matière de soins de santé. Ironiquement, l’étudiant s’entraînait dans la même salle de sport que celle utilisée pour le camp d’évaluation du NBA draft combine, où des joueurs célèbres s’entraînaient et avaient accès à des soins spécialisés, tandis que d’autres qui fréquentaient la même salle restaient en plan.
Il n’y avait pas que des gens comme cet étudiant qui avaient du mal à obtenir des soins orthopédiques, c’est le système dans lequel nous fournissons des soins aux États-Unis, privés et publics, où les soins publics, en particulier pour les pauvres, sont fortement négligés. En résulte que près d’un quart de notre population n’a pas accès à des soins orthopédiques. Dans de nombreux cas, ces patients attendent entre neuf et douze mois pour des examens d’IRM, alors que dans le secteur privé, ils seraient pris en charge en quelques jours.
Quelques années auparavant, nous avions pris conscience de ce problème dans le domaine de la santé. Vingt-cinq pour cent des résidents de l’Illinois bénéficiaient de Medicaid, un régime d’assurance-santé public. Mais moins de 1 % des chirurgiens orthopédistes acceptaient leur assurance.
Chez Genesis Orthopedics & Sports Medicine, nous avons pour mission de dispenser des soins orthopédiques de qualité à tous les habitants de l’Illinois, avec l’idée que la valeur correspond à la qualité divisée par le coût. C’est l’équation que nous appliquons pour déterminer un quotient de valeur pour nos actes médicaux.

Q. Comment Esaote a pu vous aider à dispenser des soins orthopédiques de grande valeur à vos patients ?

Andrew Shadid: Notre objectif est de fournir les soins attendus par les personnes aisées et de faire en sorte qu’ils soient accessibles aux plus démunis. L’acquisition d’un scanner IRM est coûteuse. L’assistance fournie par Esaote est multiple. Tout d’abord, le prix d’achat d’un scanner pour extrémités ou MSK par rapport à une unité de 1,5T est très différent, qu’il s’agisse d’un système neuf ou d’occasion. Nous parlons souvent de prix d’achat trois à cinq fois plus élevés pour l’IRM conventionnelle, de sorte que le coût est un facteur important à prendre en compte lors de la recherche d’appareils d’IRM pour nos cabinets.
Un autre avantage spécifique à Esaote est que ses unités n’ont besoin que d’un seul technologue pour les faire fonctionner. En environnement hospitalier, un autre technicien est généralement présent dans la salle pour accélérer les passages ou porter assistance aux patients. Pour nos cliniques, nous avons également pu former des technologues et promouvoir des membres du personnel en interne, car Esaote propose des programmes de formation directe à nos employés au lieu de les envoyer faire des années d’études coûteuses.
Un autre point essentiel est la baisse considérable des coûts de maintenance en raison de l’absence de cryogènes. Dans nos systèmes à aimants fixes, il y a moins de risques d’avoir des problèmes et ils nécessitent moins d’intervention de la part du personnel de maintenance, ce qui contribue également à réduire les coûts. Dans de nombreux cas, le problème peut être diagnostiqué et résolu à distance, ce qui représente un avantage certain.
Enfin, les unités occupent moins d’espace, car elles peuvent être installées dans une seule pièce.
Lorsque nous combinons tous ces avantages et les comparons, dans notre modélisation financière, à d’autres systèmes, il ressort que nous pouvons fournir à nos patients des soins de qualité à un prix inférieur.

Q. Les systèmes O-scan et S-scan offrent-ils la qualité dont vous avez besoin sur le plan orthopédique pour vos patients ?

Dr Hythem Shadid : En tant que chirurgien orthopédiste, j’utilise l’imagerie diagnostique pour une seule raison, à savoir pour m’aider à prendre des décisions quant au traitement à prescrire. Il s’avère, et nous ne pouvons que nous en réjouir, que ces aimants à faible champ nous apportent toutes les informations nécessaires pour prendre de bonnes décisions cliniques. Certaines blessures complexes peuvent être traitées avec ou sans chirurgie. Dans presque tous les cas, les appareils d’IRM d’Esaote fournissent les informations diagnostiques dont j’ai besoin pour prendre une bonne décision. Je peux voir où il y a des lésions osseuses, ligamentaires, capsulaires et des tissus mous et je peux même déceler un élément de lésions cartilagineuses avec les aimants de champ inférieur. J’obtiens donc une imagerie de haute qualité qui me dit exactement ce que je dois savoir d’un point de vue orthopédique et musculosquelettique.
Là où les aimants supérieurs ont été utiles pour le diagnostic des tumeurs neurologiques, dans le monde de l’orthopédie, je suis agréablement surpris de constater que les informations dont j’ai besoin pour prendre une bonne décision en tant que chirurgien me sont fournies par une unité, ici même dans mon cabinet. Ces systèmes offrent un accès facile et un confort accru pour le patient, et nous n’avons plus à envoyer les patients dans un grand centre médical pour une IRM, ce qui fait gagner un temps précieux.

Q. Quelle valeur apporte Esaote sur le plan du diagnostic des maladies musculosquelettiques ?

Andrew Shadid: Dans 99,5 % des cas, ces unités nous disent tout ce que nous devons savoir. Une autre façon de mesurer la valeur est l’expérience d’exploration elle-même. Les patients sont-ils à l’aise ou sont-ils effrayés au point de vouloir éviter toute examen IRM ? Nos patients sont très à l’aise avec nos scanners, et nos technologues apprécient la simplicité liée au positionnement des patients.

Q. D’un point de vue financier, quelle valeur représente l’achat d’une machine IRM ?

Andrew Shadid: À cet égard, nous devons déterminer l’impact sur nos revenus bruts. Pour le calculer, nous posons quatre questions lorsque nous étudions la pertinence d’acquérir d’autres systèmes IRM.

  • Le remboursement est-il différent avec ce scanner par rapport aux autres ?
    Pour Genesis, le taux de remboursement par scan est le même. Nous ne sommes pas payés plus ou moins en utilisant l’O-scan ou le S-scan par rapport à nos confrères qui utilisent des appareils à champ plus élevé.
  • Y a-t-il des patients pour qui ces scanners ne conviennent pas ?
    Chez Genesis, nous disposons d’un système S-scan et de deux systèmes O-scan pour prendre en charge tous les examens musculosquelettiques dans nos centres. Cependant, certains patients ont besoin de scanners plus grande taille en raison de leur morphologie et dans certains cas, même la plupart des systèmes 1.5T utilisés dans les hôpitaux ne suffisent pas.
  • Pouvez-vous motiver le personnel à se former à l’utilisation de ces scanners ?
    Nous avons formé du personnel interne qui n’est pas intéressé par une certification IRM complète, mais qui souhaite néanmoins évoluer dans sa carrière.
  • La cadence de traitement est-elle suffisante ?
    Si vous avez un volume de patients élevé, vous devez vous demander si vous avez besoin d’un seul système qui scanne plus rapidement ou s’il est judicieux d’avoir deux unités capables de rattraper le retard. Pour nos cabinets, nous avons choisi deux scanners, un pour le corps entier pour le rachis, les épaules et les hanches, et une unité pour les extrémités, réservée pour les mains, les genoux, les pieds et les chevilles.
    Par rapport à d’autres unités que nous avons étudiées, nous avons jugé que les systèmes Esaote étaient très efficaces, avec une conception ouverte et des prix compétitifs qui nous permettent de prendre plus de patients.
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